Gravures : ruine

Vue perspective de l'arc de triomphe romain dit "de Trajan" à Timgad (Thamugadi) en Algérie. Dans cette vue datant de 1966, l'arc de triomphe est partiellement enseveli, les vestiges de Timgad n'ayant pas encore été dégagés. A proximité des vestiges archéologiques, deux cavaliers et trois hommes en djellaba.

Vue de face de l'arc de triomphe romain de Djémilah (Algérie). Deux soldats français posent devant la ruine.

Au milieu de ruines, un attelage de six chevaux tracte une lourde pièce d'artillerie. Un groupe de soldats accompagne le canon tandis que deux autres mènent les chevaux à coup de fouet.

Fouilles archéologiques organisées par Napoléon III à Rome, sur l'emplacement du Palais des Césars. Vue du Nymphéum ou "Salle des Fontaines". En arrière plan l'abside du triclinium et les jardins de la villa Mills. Un fouilleur, la pelle à la main, fait visiter les ruines à des touristes. De nombreux visiteurs sont également visibles dans les jardins.

L'Acropole d'Athènes, vue de la tribune aux harangues. Au centre des ruines une tour aujourd'hui disparue. Les abords de l'Acropole, dans cette vue du XIXème siècle, ne sont pas encore urbanisés. Au premier plan, deux hommes en costume traditionnel.

Vue de la façade principale du Temple de Neptune à Paestum (Poseidonia) en Italie. Ce second temple d'Héra, construit vers 450 av. J.C., est également appelé "temple de Poséidon". Au second plan, le Temple d'Héra, dit "Basilique". Poseidonia est une cité grecque de la Grande-Grèce, devenue ensuite lucanienne sous appellation "Paestum".

Vue latérale de l'antique temple hellénique de la Concorde à Agrigente (Sicile, Italie). Ce temple de style dorique est un des mieux conservés de la Grèce antique du fait de sa reconversion en basilique chrétienne au VIème siècle. Le bâtiment est vu depuis le bas de la colline. Celui-ci émerge au dessus d'un épais couvert végétal.

Vue des ruines de Saint-Paul à Lisbonne (Portugal) après le tremblement de terre de 1755. Au premier plan des décombres, et juste derrière, les deux seuls pans de mur encore debout de la basilique Saint-Paul (São Paulo). Ce séisme d'une puissance exceptionnelle, qui survint le 1er novembre 1755 au matin, ruina la ville de Lisbonne, déclencha des incendies et fut suivi par un tsunami.